Quand la femme se fâche
La femme n’est pas seulement que douce, elle est aussi
amère. C’est son vice. Cette belle et tendre créature que Dieu aurait façonnée
pour ensuite mettre à la disposition de l’homme, a bien des qualités mais aussi
des défauts.
Lorsqu’on ne veut pas
voir le côté négatif de la femme, il est fortement conseillé de ne pas
l’indisposer. Il faut s’abstenir de l’énerver. Notre compatriote Komi, l’a
appris à ses dépens pour avoir osé rentrer tard à la maison.
L’homme âgé de 47 ans, enseignant de son état, serait entre
la vie et la mort. Et pour cause, Afi, son épouse, a tenté de le tuer en
versant de l’huile chaude sur son sexe. Elle a attendu que son mari plonge dans
un sommeil profond pour commettre son forfait. Et pourtant, tout allait bien ce
31 décembre 2019. Komi, comme il est de ses habitudes, était allé au marché de
la localité où il a fait des achats pour agrémenter les fêtes du nouvel an. Il
avait pour la circonstance acheté un gros bélier et beaucoup d’autres choses à
ajouter à tout ce qu’il avait prévu.
Sa femme apparemment, s’était montrée très satisfaisante.
Mais au fond elle préparait son coup parce qu’elle aurait appris que son mari
courtisait une de ses collègues dans l’intention de l’épouser. Or depuis deux
ans qu’il est affecté à Patatoukou, une localité de la préfecture de Wawa,
l’enseignant n’a jamais posé un acte d’infidélité. Bien qu’il ait présenté à sa
femme son collègue, dame Kossiwa, il aurait précisé que seules les relations
professionnelles les unissaient. Mais Afi n’avait pas cru. Elle aurait
entrepris ses propres investigations qui l’auraient conduite à ce drame du 31
décembre.
En effet, ce jour-là, Komi ne se serait pas vite rentré.
Où était-il ? Personne ne savait. Dans tous les cas, à son retour, il
serait allé au lit aux environs de 2 heures du matin. La dame avait attendu
qu’il plongeât dans un sommeil profond. Elle était ensuite allée enlever
l’huile laissée sur le feu. Elle a versé le liquide sur le sexe de son mari.
Les douleurs étaient atroces. Conduit au CHU de Kpalimé, l’homme n’aurait pas
encore adressé la parole à personne. Ses jours seraient comptés. La police
aurait déjà mis la main sur Afi.
Les appels à l’indulgence seraient lancés çà et là.
Vont-ils aboutir ? Wait and see !
B. TALOM
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