FAITS-DIVERS



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Assote - 22/11/2019 - 0 Commentaire(s)

PLUS D’UN MILLION DE FCFA POUR UN PLAISIR SEXUEL


Il a cru profiter de l’absence du mari pour s’offrir son habituel plaisir sexuel en compagnie de la femme du cocu. Mais contraint par l’arrivée inopinée de ce dernier, il a du prendre la poudre d’escampette abandonnant ses habits et une forte somme évaluée à plus d’un million de FCFA.            

Moussa, riche commerçant de friperie, a pris l’habitude de fréquenter la dame de Robert chaque fois que ce dernier est absent. Chauffeur de son état, il a l’habitude de voyager et de laisser Adjovi, sa dulcinée seule à Lomé. Parfois elle pouvait passer deux voire cinq jours en solo. Aussi prenait-elle le malin plaisir de tricher avec Moussa chez qui elle exerce comme portefaix.  De fil en aiguille l’information est tombée dans les oreilles de Robert qui aussi, soupçonnait sa femme d’adultère. Mais n’ayant pas de preuves palpables il est resté dans la suspicion. Il a fallu que son patron effectue une mission à l’étranger pour qu’il s’offre un temps d’enquête. Aussi, aurait-il profité de cette aubaine pour planifier un guêpier pour appâter le gros poisson.

Comme ce n’est pas toujours trop compliqué en la matière, Robert aurait fait savoir à sa dulcinée que son patron l’a envoyé déposer les enfants à Kpalimé et qu’il ne retournerait à Lomé que le lendemain. Étant désormais rassurée, dame Adjovi aurait simplement invité son « piocheur» qui n’a pas hésité à répondre à l’invitation. Il s’y est rendu après qu’il ait enregistré une commande à l’issue de laquelle il avait empoché une bagatelle somme d’un million de francs CFA.
           

Il était en pleins ébats lorsque le titulaire a frappé à la porte. Son seul salut était de s’échapper. La fenêtre lui offrait cette opportunité. Seulement en fuyant il a abandonné l’argent et les habits. Le mari qui a constaté cela, s’est emparé de l’argent et a tout simplement brûlé les habits. Moussa lui, aurait chuchoté ce fait à Adjovi. Mais depuis plus d’un mois elle ne sait par où commencer pour réclamer les sous. A quelque chose malheur est bon n’est-ce pas ?
 

B. TALOM

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